De retour à Montréal après un court séjour en Pennsylvanie, j’ai profité du soleil de Philadelphie pour parcourir la ville de long en large.
À mon départ, je ne savais pas trop quoi à m’attendre. Comme je le mentionnais dans ce billet, j’y allais pour rencontrer les acheteurs d’Anthropologie. Au final, j’ai découvert une jolie ville pas trop touristique avec des quartiers animés.
Philadelphie est une des rares villes américaines où l’on peut marcher, et où c’est encouragé de marcher. La ville a mis en place le projet Walk!Philadelphie qui facilite la vie aux piétons.
Je vous présente Philadelphie en quelques clichés!
Contrairement à New-York, les indignés de Philadelphie n’ont pas (encore) été chassés de leur campement.
Impossible de quitter Philadelphie sans goûter à un philly steak. Les meilleurs sont ceux que l’on achète dans la rue. Pour 4.50$, on obtient un énorme sandwich à la viande hachée avec oignons et fromage. Deux institutions se battent pour le titre du meilleur philly steak. C’est Pat vs Geno.
Le marché italien de Philadelphie m’a rappelé quelques marchés italiens que j’ai visité en Sicile. Plutôt authentique comme marché! Malheureusement, le marché semble être en voie de disparition. Les Mexicains remplacement peu à peu les Italiens.
Quelques emblèmes incontournables de Philadelphie: la love statue et Rocky.
En parcourant la ville, on a cherché un quartier qui avait des airs de Williamsburg/Mile-end. Apparemment, le quartier Northern Liberties est le quartier artistique alternatif à surveiller. Sympa comme quartier, mais les cafés/bars sympathiques n’y sont pas nombreux.
Demain, dernière partie de Philadelphie avec des photos du siège social d’Anthropologie!
Écrit par Julia Vallelunga
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que designer pour sa ligne d’accessoires La Raffinerie. Passionnée par le vintage et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise. À 30 ans, elle a finalement trouvé sa voie comme entrepreneure!
