29 décembre 2011 par Julia
Du 24 décembre au 2 janvier, À la mode Montréal vous présente les mots-clés les plus cherchés de 2011!
6e position: J.Crew, billet publié le 23 août 2011 J.Crew à Toronto
La semaine dernière, J.Crew a ouvert ses portes à Toronto. Jenna Lyons, la présidente vedette de J.Crew, s’est déplacée ainsi que tout le milieu fashion de Toronto. Du haut de ses six pieds et vêtue d’une jupe à sequin verte pomme, Jenna Lyons a inauguré l’ouverture de la première boutique canadienne. Le lendemain matin, les fans faisaient la file avant même que les portes soient encore ouvertes.
On est content pour Toronto, mais que réserve J.Crew au reste du Canada? Première bonne nouvelle, les frais de livraison ont été réduits. Les Canadiens n’ont qu’à débourser 9.95$ par livraison. Deuxième bonne nouvelle, la chaine américaine compte ouvrir d’autres points de vente au Canada. Les dates et les villes ne sont pas encore annoncées.
J.Crew n’a pas réservé que des bonnes surprises aux Canadiens…Les premiers acheteurs se sont vite aperçus que les prix canadiens étaient plus élevés que les prix américains. Les Canadiens doivent débourser 15% de plus que leurs voisins. La nouvelle s’est vite propagée et a fait de l’ombre à l’ouverture de la boutique. Le quotidien Globe and Mail décrit la réaction des Canadiens dans un article publié ici ce week-end. L’article a obtenu 289 commentaires de consommateurs mécontents.
Avec la hausse du dollar canadien, les Canadiens veulent payer les mêmes prix que les Américains. Pour se défendre, les chaines soutiennent qu’il y a des frais de douane à considérer. Est-ce que cette hausse de prix est vraiment justifiable?
Qu’en pensez-vous?De mon côté, je crois que les prix de J.Crew sont déjà assez élevés…la chaine aurait pu absorber cette petite perte et satisfaire des millions de Canadiens.
Écrit par Julia Vallelunga
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que designer pour sa ligne d’accessoires La Raffinerie. Passionnée par le vintage et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise. À 30 ans, elle a finalement trouvé sa voie comme entrepreneure!
