Billet de Véronique, collaboratrice d’À la mode Montréal à Paris
Lorsqu’on visite une boutique vintage, on cherche du beau, du bon et de l’abordable. À la boutique Kiloshop, on trouve tout ça et avec beaucoup de choix. Le plus amusant dans tout ça ? On doit peser nos trouvailles pour connaître le prix lorsqu’on passe à la caisse.
Ça fonctionne comme à l’épicerie où chaque catégorie d’items est étalée et présentée avec un prix au kilo. Ici, une pastille verte équivaut à 35 €/kilo et une rouge 20€/kilo.
La chose qui m’a surprise le plus dans la boutique? La quantité phénoménale et la variété des items… sur deux étages ! Souvent, je ressors des friperies un peu sur ma faim, sans réel coup de cœur. Ce n’est pas le cas ici puisqu’on peut trouver bijoux, sacs à main, vêtements, accessoires, chaussures et chapeaux dans des proportions égales pour hommes et femmes.
Lorsque j’y suis allée, les employés s’affairaient à terminer la section arrière du magasin. J’ai parlé un peu avec le gérant et j’ai appris que la boutique n’était ouverte que depuis le début mai. En voyant la quantité de vêtements présents, on se demande où s’approvisionnent les autres boutiques vintage du quartier.
L’ambiance du Kiloshop est chouette et les vêtements ne sont pas dans un fouillis total comme certaines boutiques peuvent l’être. Ça nous donne envie de fouiller juste comme il faut. On remarque aussi l’aspect industriel de la présentation qui diffère de celle qui s’apparente habituellement à un grenier de grand-mère.
Résultat ? Je ressors avec un foulard qui a coûté deux euros et la certitude de détenir une adresse incontournable dans le monde du vintage.
Kiloshop
69-71 rue de la Verrerie
4e arrondissement
Page Facebook
Écrit par Veronique Buist
Véronique aime s’amuser avec le quotidien pour en faire quelque chose de plus coloré et sensible. Passionnée du beau sous toutes ses formes, elle choisit la photographie, le design et le dessin pour s’exprimer. Lorsqu’elle n’est pas à son cours de danse ou en train de lire devant un thé, elle aime cuisiner et planifier un prochain voyage. Diplômée en arts visuels, elle préfère ne pas se limiter et apprécier la diversité. Depuis peu, elle se laisse inspirer sa nouvelle ville, Paris.
