La marque brésilienne Melissa fabrique des chaussures à partir de plastique depuis plus de 25 ans. Vous les avez peut-être aperçu en boutique. Les bottes et les sandales sont maintenant vendues sur tous les continents. Selon leur site web, plus de 20 millions de paires de chaussure ont trouvé preneur dans 80 pays.
Il y a deux ans, j’ai acheté une paire de sandales plates Melissa, et c’était très difficile de résister à les porter tous les jours d’été. Elles sont hyper confortables et très résistantes. Ces « jelly shoes » connaissent un tel succès que j’ai voulu en connaître davantage sur le concept.
Melissa X les grands designers
Jean-Paul Gaultier qui conçoit des chaussures en plastique? Oui, il n’est pas le seul designer! La marque Melissa a, en autre, collaboré avec Vivianne Westwood et Jean-Paul Gaultier pour concevoir des collections de chaussures Melissa en séries limitées.
Les boutiques Melissa au Brésil
Les boutiques Melissa au Brésil ne semblent pas passer inaperçues. Elles sont originales et colorées. À la boutique de Sao Paulo, la façade change de thème. Un mois, une murale de « post-it’ avec des notes de fan décorent les murs, l’autre mois, des imprimés de fleurs ornent la façade.Vous pouvez voir des photos de toutes les galeries ici.
Les chaussures
L’été, Melissa propose une grande sélection de sandales et en hiver, une grande variété de bottes de pluie. Bon à savoir: les chaussures Melissa ont une senteur de Bubble gum pour absorber l’odeur de la transpiration…
Que pensez-vous des chaussures en plastique?
De mon côté, je n’aime pas tous les styles proposés par la marque, mais je trouve le concept assez bien réussi.
À Montréal, la marque brésilienne est disponible dans quelques boutiques comme Scarpa et Little Burgundy.
Écrit par Julia Vallelunga
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que designer pour sa ligne d’accessoires La Raffinerie. Passionnée par le vintage et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise. À 30 ans, elle a finalement trouvé sa voie comme entrepreneure!
estoy interesada en comercializar en colombia
FAVOR RECIBO INFORMACION EN [email protected]
j’ai essayé les ballerines à Lisbonne en septembre dernier et j’ai malheureusement été trop sage…je regrette tellement.
Scarpa, Little Burgundy et Locale ne vendent que les bottes de pluie et les petits oxford en suède…quel dommage.