En zieutant la programmation du festival Pop Montréal, je suis tombée sur le nom d’Ariane Zita. « Ah ben, je l’avais oublié elle! » que je me suis dit. Je l’avais découverte il y a quelques mois grâce à ma sœur et j’avais écouté son EP de six tounes en boucles pendant des jours à ce moment-là.
Sa musique ne réinvente rien, mais ses chansons sont accrocheuses. Une pop folk légère qui fait du bien. Les thèmes abordés dans les textes, en anglais, de la jeune auteur-compositrice-interprète portent surtout sur les relations amoureuses. Elle me rappelle un peu Coeur de pirate ou Lisa Loeb avec une petite twist country.
La Montréalaise d’origine a toujours fait de la musique, mais c’est grâce à une amie qui l’a inscrite à un concours à son insu qu’elle s’est vraiment mise à mettre des paroles sur ses compositions. D’ailleurs, si elle écrit en anglais c’est parce qu’elle a moins l’impression de se mettre à nu qu’en français.
Si, comme moi, vous avez envie de quelque chose de cute, de léger, de doux et d’un peu féfille, procurez-vous son premier EP éponyme. Vous pouvez aussi aller la voir en spectacle au Quai des brumes dans le cadre de Pop Montréal le 28 septembre prochain. On risque de s’y croiser.
Valérie est curieuse, enthousiaste, moqueuse, expressive, indécise, potineuse et gourmande. Elle parle vite et beaucoup, ce qui peut étourdir ses interlocuteurs. Éternelle étudiante, elle n’en finit plus de finir son baccalauréat. Avec tous ces changements de cap, elle a sans doute plus de crédits universitaires qu’un étudiant en médecine.
Pas un(e) autre qui écrit en anglais!