Des lacets colorés, des foulards imprimés, des ceintures en cuir de qualité, des noeuds papillon originaux…oui, tout ça existe et sous le même toit ou plutôt site web: www.steveandco.com
Les hommes aussi aiment les accessoires. Par contre, ce n’est pas toujours évident d’en dénicher des beaux. La compagnie italienne a résolu le problème et a regroupé les plus beaux accessoires pour messieurs. Tantôt classiques, tantôt plus colorés et uniques, les accessoires Steve&Co se démarquent. Les accessoires de Steve&Co sont conçus pour ceux qui aiment les belles choses et qui aiment se faire remarquer.
Cela fait plusieurs fois que je reçois des courriels vantant les accessoires Steve&Co de PR italiens un peu insistants. Pour être franche, le nom de l’entreprise ne m’inspirait pas beaucoup. Une fois leur site web visité, j’ai changé d’avis. Les accessoires sont beaux, ils semblent être de bonne qualité tout en demeurant abordables (à part pour les lunettes en bois…). Seul côté négatif: l’entreprise révèle peu d’information. Qui est cette entreprise italienne au nom de Steve&Co? On veut savoir la petite histoire!
Livraison au Canada
Pour 24 euros, il est possible de commander (livraison DHL) des accessoires Steve&Co via leur boutique web. Les frais d’expédition sont un peu élevés, mais si l’on fait le plein d’accessoires, cela en vaut la peine.
Alors on achète quoi en ce moment chez Steve&Co?
Des écharpes imprimées pour l’automne, grande sélection 30 euros
Des noeuds papillon pour tous les styles, du tricot aux studs! 35 à 40 euros
Des foulards de toutes les couleurs, 18 à 20 euros
Des lacets pour « pimper » ses chaussures! 9.50 euros
Il n’y a pas longtemps, Joannie a parlé de lacets ici.
Que pensez-vous de ces accessoires?
Vous aimez?
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que designer pour sa ligne d’accessoires La Raffinerie. Passionnée par le vintage et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise. À 30 ans, elle a finalement trouvé sa voie comme entrepreneure!
