À la mode Montréal vous présente une petite série sur les bons restos ethniques à Montréal.
1er arrêt: Byblos
2e arrêt: Malhi Sweets
J’aime beaucoup la cuisine indienne. Elle peut rassembler des végétariens, des végétaliens et des carnivores autour d’une même table et tout le monde y trouve son compte.
À Montréal, nous sommes chanceux, nous avons plusieurs bons restaurants indiens. J’aurais pu parler du Bombay Mahal, du Punjab Palace et de plusieurs autres, mais moi, où je vais le plus souvent, c’est au Malhi Sweets. Quand j’ai un gros craving, je pars de mon Centre-Sud pour me rendre dans Parc-Extension sur la rue Jarry Ouest au coin de Wiseman.
Parfois, je prends pour emporter, d’autres je décide de manger sur place. Bon, comme à peu près tous les restaurants indiens, la décoration laisse souvent à désirer. C’est toujours un peu (beaucoup) quétaine, mais on dirait que ça ajoute à l’authenticité de l’endroit. Malhi Sweets n’est pas l’exception à la règle. Même s’ils ont rénové dernièrement…
Évidemment, chaque fois que j’y vais, je mange toujours trop. Samosa et Aloo Tikki, poulet tandoori ou au beurre, riz et pain naan. Leur sauce Tikka Masala est bonne à s’en lécher les doigts. J’y trempe mon pain naan jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une goutte.
Le propriétaire, toujours présent, voit à ce que tout se passe bien, prend les commandes des clients en salle, répond au téléphone, etc. Pendant que je me remplis la panse, des succès Bollywood passent en boucle aux trois télévisions accrochées et placées stratégiquement.
Allez y faire un tour, si vous êtes chanceux et si je me fie au mur des célébrités, vous pourriez y croiser Catherine Deneuve, Leelee Sobieski ou même Pierre Foglia. 
Malhi Sweets
880, rue Jarry Ouest
Montréal
Valérie est curieuse, enthousiaste, moqueuse, expressive, indécise, potineuse et gourmande. Elle parle vite et beaucoup, ce qui peut étourdir ses interlocuteurs. Éternelle étudiante, elle n’en finit plus de finir son baccalauréat. Avec tous ces changements de cap, elle a sans doute plus de crédits universitaires qu’un étudiant en médecine.
