Les Belles-Soeurs 22 janvier 2013

Pour le mois de janvier, À la mode Montréal vous propose une petite série de bonnes adresses « classiques » à Montréal.
Premier arrêt: le Wilensky
Deuxième arrêt: Bagel etc.
Troisième arrêt: Les Belles-Soeurs

Souvent, lorsque j’ai vraiment faim, la première image qui me vient en tête est un beau gros paquet de frites. Parfois, je me contente du premier fast food que je croise, d’autres fois, sans doute pour me déculpaliser d’avance de manger autant de gras, je recherche un peu plus de qualité. J’aboutis souvent chez Les Belles-Soeurs.

Même s’il est situé à un coin de la rue Mont-Royal, Les Belles-Soeurs sait se faire remarquer avec sa façade mauve. L’ambiance est conviviale et sympathique. Pas très grand, le local est joliment décoré, coloré et lumineux.

On s’installe à l’une des tables ou au comptoir, d’où l’on peut observer le chef s’affairer à préparer les assiettes. La clientèle est variée : des travailleurs qui viennent dîner, des familles du quartier, des couples, des groupes d’amis.

Sur le menu, on retrouve des croque-monsieur, des quédilles, des clubs sandwich, de la poutine, des hamburgers. Un délicieux choix de déjeuners, servis toute la semaine jusqu’à 11h, et la fin de semaine, est aussi offert.

Le midi et le soir, ils ont un spécial « Assiette Burger », un hamburger qui vient avec frites, salade et bière. La spécialité de la maison : le Burger Belles-Soeurs, fait avec de la viande d’agneau, du fromage de chèvre et des champignons. C’est ce que je commande le plus souvent parce que je trouve le rapport qualité-prix excellent. Et comme les portions sont généreuses, ça comble tout à fait mon appétit.

Les Belles-Soeurs, un classique de l’est du Plateau Mont-Royal et définitivement un de mes endroits préférés où aller manger du bon fast food.

2251, rue Marie-Anne Est
Montréal

Valérie Lacasse (40 Posts)

Valérie est curieuse, enthousiaste, moqueuse, expressive, indécise, potineuse et gourmande. Elle parle vite et beaucoup, ce qui peut étourdir ses interlocuteurs. Éternelle étudiante, elle n’en finit plus de finir son baccalauréat. Avec tous ces changements de cap, elle a sans doute plus de crédits universitaires qu’un étudiant en médecine.

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