Falco 11 mars 2013

Tout d’abord, je dois avouer que je ne suis pas une grande fan de tout ce qui est japonais. Je ne trippe pas sushi ni wasabi, alors des onigris, ça ne me disait pas plus que ça. Lorsque le Falco a ouvert ses portes, j’ai mis du temps avant d’y aller. Mais quand j’y ai mis les pieds, j’ai été très impressionnée.

Sans avoir peur de me tromper, je peux affirmer que le Falco est l’un des plus beaux café à Montréal. Pourtant, de l’extérieur, on ne se doute pas qu’un local ait été aménagé aussi joliment. Situé sur de Gaspé, au rez-de chaussée d’un édifice tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Mais dès qu’on franchit la porte du café, on se retrouve ailleurs, dans un univers unique. Un vélo suspendu au plafond, des machines à coudre et autres objets uniques donnent un look industriel vintage assumé à l’endroit. Une grande table de bois règne au centre de la pièce et accueille amis et inconnus qui viennent lire ou placoter.

Le menu est influencé par les origines du couple franco-japonais à qui appartient de Falco, Frederik Froument et Yuko Toda. Des mets japonais légers, mais aussi des sandwiches plus conventionnels. Un long comptoir de bois est tout ce qui sépare la cuisine des clients qui peuvent regarder leurs mets se faire préparer. C’est sur ce comptoir qu’est posée la fameuse cafetière à siphon. Le processus est fascinant à regarder, on se sent presque comme un enfant au Centre des sciences de Montréal!

Si vous avez envie d’un beau décor, d’un repas frais et santé et d’un peu de dépaysement, le Falco est à inscrire sur votre liste.

Valérie Lacasse (47 Posts)

Valérie est curieuse, enthousiaste, moqueuse, expressive, indécise, potineuse et gourmande. Elle parle vite et beaucoup, ce qui peut étourdir ses interlocuteurs. Éternelle étudiante, elle n’en finit plus de finir son baccalauréat. Avec tous ces changements de cap, elle a sans doute plus de crédits universitaires qu’un étudiant en médecine.

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