Cronut version italo-québecoise 30 août 2013

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La première fois que j’ai entendu parler des cronuts, c’était sur Instagram. Après avoir créé leur propre version du cronut, la pâtisserie italienne La Cornetteria a publié une photo sur le web. Ce fut un succès instantané. À trois reprises, je revenue de La Cornetteria les mains vides. «Désolé, on a tout vendu, me répétait le proprio. Reviens plus tôt la prochaine fois. » À la quatrième tentative, j’ai finalement mis la main sur le cronut appelé cronetto par La Cornetteria.

Qu’est-ce qu’un cronetto ou un cronut?
C’est une sorte de beigne frit fait avec de la pâte feuilletée d’un croissant. Cro (issant) (do) nut… Le fameux cronut a été inventé par le chef pâtissier Dominique Ansel à New York. Ce dernier a déposé une marque de commerce sur son invention. Les autres chefs qui souhaitent imiter le cronut doivent donner un autre nom à leur création. À La Cornetteria, un cronetto se vend 4$ et vous avez seulement le droit d’en acheter 2. Lors de ma visite, j’ai goûté au cronetto à la crème anglaise, mais la pâtisserie propose des nouvelles saveurs à chaque semaine (nutella, pistache, caramel). Mon verdict: c’est bon, mais beaucoup trop sucré pour moi. C’est le genre de pâtisserie que je mangerais une seule fois pour y goûter. Le propriétaire de La Cornetteria m’a révélé qu’en ce moment, il vendait presqu’autant de cronetti que de cannoli. Reste à voir si les cronetti ou les cronuts ne sont qu’une tendance passagère!

Les cronuts et ses dérivés
Sur le site Eater.com, je suis tombée sur un article qui exposait les cronuts réinventés dans le monde. Ils s’appellent : croissant-donut, doughnut-croissant, cray-nut, doughssant… Et ils ne sont pas tous appétissants.

Avez-vous essayé le cronetto de La Cornetteria?

La Cornetteria
6528, boul. St Laurent

 

Julia Vallelunga (887 Posts)

Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que l'éditrice web francophone pour Aritzia. Passionnée par la déco et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise à Montréal.


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3 réponses à “Cronut version italo-québecoise”

  1. fefe #

    Oui moi aussi j’ai essayé mais chez D liche… eux, ils les vendent à $5 taxes non inclus. J’en ai acheté 2, un pour mon copain. On n’a pas pu les finir… bien trop sucré, saturé, comme Audrey dit, pas très bon. Et je ne sauterais pas au plafond, surtout à ce prix… Mais bon je tenterais quand même le réessayer. Peut-être c’est meilleur au Cornetteria? Merci d’avoir partagé!

    4 septembre 2013 à 11 h 34 min Répondre
  2. Non, parce que j’évite le sucre en autant que possible. Par contre, les cornetti (ou, un peu sucrés - un peu plus de sucre et moins de beurre que les croissants français) sont très bons, et la Cornetteria est bien sympa. Il y a une mode d’excès - toujours plus de sucre, du gras (dont le bacon) etc. qui est loin d’être sympa. Ça vient surtout des États-Unis, comme réaction contre le « lo-fat ».

    En passant, comme toute pâtisserie-comptoir italo-montréalais qui se respecte, la Cornetteria a du bon café. Comme il s’agit d’une pâtisserie (qui vend également à des restaurants) il est ouvert très tôt le matin et est donc un endroit idéal pour prendre un bon café avant le boulot.

    Et au moins leurs cornutti sont décorés avec goût!

    28 août 2013 à 14 h 23 min Répondre
  3. Audrey #

    Oui, j’ai essayé, et effectivement c’est trop sucré et pas très bon… ! Je ne comprends pas l’engouement pour cette pâtisserie.

    28 août 2013 à 10 h 07 min Répondre

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