Hier, je vous ai raconté mon passage à Sainte-Anne-de-la-Pérade en famille. Après notre balade sur la rivière glacée Sainte-Anne, on a pris la route pour se rendre à Quebec. Au programme : visiter de la famille et profiter du week-end pour aller au Carnaval de Québec.
C’était la première fois qu’on rendait visite au Bonhomme. On n’avait pas trop d’attentes, mais difficile de ne pas comparer le Carnaval de Québec à la Fête des neiges à Montréal. Les deux événements ont lieu en même temps et proposent des activités semblables.
À Québec de nombreux reportages à la télé et à la radio annonçaient déjà la mort du Carnaval avant même qu’il ait commencé. Après quelques années difficiles, le Carnaval serait dans une période de transition. Et effectivement, il y a place à l’amélioration. Sur place, la magie semble s’être un peu estompée. Les commanditaires prennent beaucoup de place et leurs kiosques manquent parfois de créativité. Malgré tout, j’ai bien aimé ma journée au Carnaval parce que j’étais déjà en ville. Si j’étais venue de Montréal seulement pour le Carnaval, je serais sûrement un peu déçue.
Le Carnaval n’est pas mort, mais il a besoin d’un petit vent de fraîcheur ! À surveiller en 2017.
Êtes-vous allés cet hiver, vous en pensez quoi ?
carnaval.qc.ca
Suggestions de balades entre Québec-Montréal
Si vous n’êtes pas pressé, empruntez le chemin du Roy ou la 132 entre Québec et Montréal. J’aime particulièrement prendre le chemin du Roy entre Trois-Rivières et Québec. Il y a des splendides maisons patrimoniales et des paysages à couper le souffle, même en hiver. Pour le chemin du retour, on a pris la 132 de Québec à Sorel. La route n’est pas aussi pittoresque que le chemin du Roy, mais il y a aussi des très beaux coins dont Saint-Antoine-de-Tilly, considéré comme l’un des plus beaux villages du Québec.
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal. Passionnée par la déco et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise à Montréal.
