À cette date-ci, vous avez peut-être déjà entendu parler du nouveau bar « secret » sur la rue St-Laurent. Presque trois mois après son ouverture, il n’est plus aussi secret, mais il se fait tout de même discret.
À part quelques symboles japonais et le mot « bar » affichés sur une veille porte de couleur rouille, rien n’indique que c’est un bar. Et c’est tant mieux. Lorsque j’y suis allée hier pour la première fois, il n’y avait pas foule. Il y avait juste assez de monde pour créer une ambiance chaleureuse et pour discuter calmement en savourant un cocktail.
Le concept
Ce nouveau bar est le petit frère du restaurant Big in Japan situé quelques commerces plus loin sur la rue St-Laurent. Chapeau au designer Bruno Braën pour la déco et le concept. C’est le même designer qui s’est occupé de la déco du Pullman, du Club Chasse et Pêche, du Benelux et de beaucoup d’autres jolis endroits montréalais.
Vous vous demandez quelles sont les bouteilles suspendues au plafond? Le bar vous propose d’acheter une bouteille et si vous ne la finissez pas, vous pouvez toujours revenir la terminer. Identifiée avec votre nom, elle vous attend sagement au plafond! Le bar est sombre, mais l’éclairage aux lampions est charmant. Le bar est un long comptoir continu de style labyrinthe avec un espace réservé aux serveurs. J’ai déjà vu ce concept dans un vieux dinner de Philadelphie et j’avais trouvé cela non seulement pratique, mais très convivial.
Qu’est-ce que l’on boit au bar Big in Japan?
On y sert quelques alcools typiquement japonais ainsi que du saké. Pour ceux qui sont plus traditionnels, vous retrouverez une sélection de cocktails et de vins.
Le bar Big in Japan est situé juste à côté du Patati Patata au 4175 rue St-Laurent.
Vous êtes allé?
Écrit par Julia Vallelunga
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que designer pour sa ligne d’accessoires La Raffinerie. Passionnée par le vintage et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise. À 30 ans, elle a finalement trouvé sa voie comme entrepreneure!
