Le nom Satay Brothers vous dit quelque chose? Depuis 2011, les critiques de ce restaurant sont élogieuses. Cela faisait un moment que je voulais essayer leur cuisine. Deux ans plus tard (il n’est jamais trop tard!), j’ai finalement goûté et je n’ai pas été déçue.
Mat et Alex Winnicki, deux frères d’origine singapourienne et polonaise, ont ouvert un premier kiosque au marché Atwater en 2011 et ont plus récemment décidé d’ouvrir leur cuisine sur la rue Saint-Jacques au public pendant l’hiver. Au menu: de la cuisine asiatique du sud-est à prix très abordable. En cuisine, les frères Winnicki se disent très inspirés par leur mère Kim qui leur a appris les rudiments de la cuisine singapourienne.
Kiosque au marché
Pendant l’été, on a le bonheur de manger la cuisine de Satay Brothers au marché Atwater. Installé sous une grande tente, leur kiosque a une excellente ambiance. La musique est bonne et les employés (dont les frères Winnicki) semblent avoir beaucoup de plaisir tout en travaillant. Les jeudi et vendredi, le kiosque Satay Brothers est ouvert jusqu’à 21h et un DJ est invité.
Les plats
Un plat incontournable: les brochettes de viande, concombres et sauce Satay. La sauce est succulente et la viande est très tendre. Comme deuxième plat, j’hésitais entre le Satay sandwich et le Laska Lemak. J’ai finalement opté pour le dernier. J’ai adoré le Laska Lemak.
Si vous planifiez une visite au marché Atwater, voici l’horaire du kiosque Satay Brothers >>
Après ma première visite au kiosque Satay Brothers, je me suis dit que le marché Atwater et le marché Jean-Talon devraient autorisés davantage de kiosques de bouffe comme celui-ci. Qu’en pensez-vous?
sataybrothers.com
www.facebook.com/sataybrothers
Julia Vallelunga est l’éditrice et la fondatrice d’À la mode Montréal ainsi que designer pour sa ligne d’accessoires La Raffinerie. Passionnée par le vintage et les voyages, elle adore dénicher des belles trouvailles d’ici et d’ailleurs. Bachelière en économie et politique de l’Université de Montréal, elle a travaillé comme lobbyiste (pour des gentils) à Bruxelles pendant quelques années et comme conseillère en démarrage d’entreprise. À 30 ans, elle a finalement trouvé sa voie comme entrepreneure!
